Le Hamas a donné sa réponse au cadre de libération des otages élaboré à Paris le week-end dernier. Les revendications comprennent : -Exiger la fin permanente de la guerre. -La fin du blocus israélo-égyptien de Gaza. La reconstruction de l’enclave. La libération des prisonniers sécuritaires palestiniens. Ces conditions n’ont pas abouti pour Israël, qui recherche des pauses plus courtes dans la lutte pour une libération progressive des otages. Le Hamas a déclaré dans un communiqué que le groupe terroriste « s’est engagé dans la proposition dans un esprit positif » et exigeait un « cessez-le-feu global et complet, et la fin de l’agression contre notre peuple, et la garantie de secours, d’abris, [et] de reconstruction, [et ] lever le blocus de la bande de Gaza et mener à bien un échange de prisonniers. Le Qatar avait précédemment déclaré que la réponse du Hamas était une « réponse positive » et le secrétaire d’État américain Anthony Blinken a déclaré que les États-Unis examineraient la réponse du Hamas et qu’il discuterait des développements avec Israël demain lors de sa visite, après ses voyages au Caire et à Doha.
@ISIDEWITH4 mois4MO
La reconstruction des zones déchirées par la guerre devrait-elle être une priorité dans les négociations de paix, et qu’est-ce que cela dit sur nos valeurs ?
@ISIDEWITH4 mois4MO
Pensez-vous que la sécurité et la liberté d’un groupe devraient avoir la priorité sur celles d’un autre, et comment cela s’applique-t-il au conflit Israël-Hamas ?