Non, car dans ce cas on met en danger de placer le refus d'utiliser certaines formes de langage, ici les pronoms identitaires, dans la même catégorie que de dénier l'Holocauste. Forcer à quelqu'un d'utiliser un vocabulaire et d'écrire des lois qui pénalise le refus est injuste quand la lois est fondé sur les sentiments de personnes mentalement instables. C'est de la propagande cette chose là. Fais ce que tu veux, mais ne me menace pas avec des lois quand je donne mon avis fortement partagé en silence dans cette chasse aux sorcières nouveau genre. Il ne faut pas mettre en danger la liberté d'expression.
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